Interview Taylor Kane
Vous le savez sans doute, Taylor Kane a effectué son retour à l'occasion du match face à Grenoble. On en a profité pour lui poser quelques questions sur le présent, le passé et son lien notamment affectif avec Rethel.
Peux-tu te présenter rapidement ? Je m’appelle Taylor Kane, je suis américain, je veins de Corona en Californie et c’est ma cinquième année en tant que joueur de Rethel.
Quand as-tu commencé le (roller) hockey ? Pourrais tu nous parler aussi un petit peu de ta carrière? J’ai commencé à jouer au hockey à partir de 12 ans à Corona. Et après peut-être 3-4 ans à travailler afin de m’améliorer et progresser, j’ai commencé à voyager. Ensuite, j’ai joué pour Team USA (la sélection américaine) pendant 2 ans puis j’ai rejoint Rethel car j’avais mon ami Joey qui jouait ici. Après 3-4 saisons à Rethel et un premier départ, je suis revenu pour le début de la saison dernière et je reviens pour ce week-end.
Es-tu ravi à chaque fois que tu reviens ici? C’est toujours un plaisir pour moi de revenir ici et revoir tout le monde. Jouer un bon hockey avec mes amis contre de bons adversaires, c’est toujours appréciable.
Avec tout ce temps passé ici, ce club c’est un peu ta famille? C’est comme une seconde maison, comme je l’ai dis depuis mon passage ici, je connais pleins de gens donc c’est toujours sympatique de revenir et de les revoir tous.
As tu continué à suivre les résultats du club? Que penses-tu de ce début de saison? J’ai juste vu les résultats, pas forcément des vidéos. Mais je sais que le dernier match était difficle et celui-ci le sera aussi. Pour moi, Rethel est toujours une grande équipe. Un des joueurs de Grenoble est un ami, donc quand j’ai su ça je me suis dit que Rethel et Grenoble étaient les deux meilleurs équipes du championnat.
Quel est ton meilleur souvenir? La Coupe d’Europe 2012 est un grand souvenir pour moi. Déja car c’était ici à Rethel et puis je me souviens de la demi -finale contre Angers où j’ai marqué le but de la victoire en prolongation. Tout ça je ne peux pas l’oublier.